2025 – Journée Nationale des Véhicules d’Epoque le 27 avril

Pendant que certains s’essayaient aux joies du circuit lors de la parade des Classic Days à Magny-Cours et que d’autres profitaient des paysages extraordinaires de la Corse, un petit groupe de 10 adhérents avaient choisi de profiter de cette Journée Nationale des Véhicules d’Epoque pour rendre visite à nos amis de la Virée d’Antan, à Brassac Les Mines.
Partis du matin d’Espinasse Vozelle, les 5 voitures ont d’abord fait halte au hameau de Saint-Julien, pour découvrir le site des « 140 caves ». Nous n’en avons pas vu autant, car certaines d’entre elles ont maintenant disparu ; mais d’autres sont encore en bon état et même accessibles (avec prudence). Malheureusement, bouteilles et autres fromages n’y sont plus conservés, sauf peut-être dans une ou deux qui étaient bien fermées à clé !
Après avoir admiré la vue sur le château de Montaigut le Blanc, il a fallu passer l’obstacle de la déviation du bourg pour cause de réfection de chaussée  de la rue principale. Les deux Z3 ont un peu frotté, mais personne n’a laissé son pot d’échappement dans les cailloux !
A quelques kilomètres de là : le chastel de Saint-Floret, avec vue plongeante sur le village et embrassant le paysage jusqu’au Sancy, et avec sa nécropole médiévale. Au Xème siècle, les tombeaux y étaient creusés dans la pierre (fallait prévoir son cercueil à l’avance …) et un ossuaire profond de 5 mètres, rempli quasiment à ras bord d’ossements et de crânes. Pas très joyeux, mais impressionnant.
Un dernier arrêt matinal à Notre-Dame de Ronzières, dont la décoration intérieure nous a quelque peu déçus, mais offrant là aussi un très vaste et beau panorama sur les alentours.
Truffade générale à l’Auberge de la Loue à Vodable, où 2 intrépides ont vite regretté leur choix de goûter un verre de Côtes d’Auvergne … on n’a pas idée, aussi !
Puis nous avons pris la direction de Brassac, où nous avons bravé travaux et sens interdits pour pouvoir atteindre le Musée. Heureusement, pas de maréchaussée à l’horizon … Accueil toujours aussi chaleureux de Didier, qui se fait un plaisir de raconter la genèse de la Virée d’Antan. Et nous avons pu déambuler dans le bâtiment à notre guise et à notre rythme, admirant la collection renouvelée tous les ans.
Retour perturbé par une dernière déviation à Sauxillanges en raison de la course cycliste, mais nous avons bien retrouvé notre chemin. Nous avons même pris le temps de nous arrêter à Randan pour abreuver nos gosiers … ça donne soif, la truffade !
Pas de pluie, ambiance potache comme on l’aime, jolies routes et découvertes insolites. Les participants avaient l’air bien contents de leur journée. Tant mieux !

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